Deux mois après la réouverture, le restaurant a conservé une partie de la clientèle du Métropolitain. "Les toulousains l'appelaient le Met, on a gardé ce vocable en lui accolant le mot brasserie", précise Olivier Royer, ancien de l'école hôtelière Vatel de Nîmes.
Avant de s'implanter à Toulouse, sa ville natale, il a dirigé pendant treize ans deux restaurants à Courchevel. C'est là qu'il y a connu le chef de la Brasserie du Met', Nicolas Aoustin, 34 ans, qui a également travaillé en Thaïlande et à Saint-Barth.
Quelques notes asiatiques
Sur la carte et les menus, des plats bistrotiers traditionnels (tartare de boeuf, entrecôte, foie gras, os à moelle, etc.) côtoient des mets aux notes asiatiques (wok de calamars et gambas, basilic thaï, riz parfumé au jasmin, salade de boeuf thaï comme à Chang-Mai, tartare de poissons aux saveurs des îles, chips de banane plantin, etc.).
La salle du restaurant gastronomique a été réaménagée avec des jeux de lumière aux couleurs vives créant une atmosphère chaleureuse. Un espace bar a été conçu. On y sert une bière artisanale locale et une carte courte de tapas reprenant les classiques de la cuisine espagnole (patatas bravas, chipirons et piquillos à la plancha, etc.).
L'équipe est composée de huit personnes : quatre en cuisine et quatre en salle, dont Olivier Royer.
Publié par Bernard DEGIOANNI