Le grand palmier dépassant du toit-véranda est emblématique de ce restaurant bien connu des Biarrots et des touristes, et immanquable dans cette petite rue descendant vers la plage du Port Vieux. Bernard Lacoume a tenu le Palmarium pendant vingt ans, avant que son fils Aurélien, restaurateur lui aussi, ne le reprenne avec sa compagne, Nina Berche. Le couple gère aussi désormais l’hôtel (ex-Palym) situé en face du restaurant, que la tante d’Aurélien Lacoume a exploité pendant deux décennies également. Les jeunes gens ont revu le concept de chacun des établissements pour proposer un ensemble cohérent, rebaptisé Palmito. Ils ont transformé le restaurant (200 couverts en été) en un food market avec bar à cocktails et divers stands : Djawa (street-food indonésienne), Blandice (gaufres salées et sucrées), El Taco Del Diablo (tacos), Sunside Corner (pancakes, toasts, bowls, brunchs) et Palmito Paradise (burgers, bowls, paella). Beaucoup d’habitués venaient pour la paella de Bernard Lacoume, qui trônait en devanture du restaurant : la tradition est perpétuée par son fils.
Bar de plage hawaïen
“Nous louons les cellules à des indépendants qui apportent leur identité. Le loyer varie selon l’emplacement et la superficie du stand. Nous fournissons le matériel - frigo, stockage, etc. - et gérons le personnel en salle”, explique Nina Berche. Le personnel ne prend pas les commandes à table : les clients font leur choix via un QR code sur la table, ou par une borne de commande, ou encore directement au stand (un menu papier est disponible). Le couple a pensé l’espace (sur deux niveaux) et la décoration comme un bar de plage hawaïen, avec beaucoup d’éléments en rotin, de végétaux, et des sculptures réalisées par un artisan-décorateur de cinéma. Enfin, des soirées rythment régulièrement le lieu.
#Biarritz# #Palmito# #foodmarket#
Publié par Laetitia Bonnet Mundschau