Ce produit novateur
a ouvert ses 38 chambres en novembre 2016, en lieu et place d'un Hôtel
Star abandonné depuis dix ans, après huit mois de travaux et 1,6 M€ investissement
total. Tout est parti d'une idée : "Développer
un produit au design spécifique, facilement identifiable, tourné tant vers
les professionnels que les touristes ou les familles. Un hôtel
différent des chaînes et n'entrant pas directement en concurrence", justifie
celui qui possède également un Première Classe à proximité.
Un parti-pris moderne
C'est Olivier Delescluse, directeur de création à Paris, qui a été chargé de travailler l'identité visuelle du futur hôtel, dont la marque est aujourd'hui déposée : "Avec un parti pris moderne et beaucoup de couleurs : une palette de cinq nuances calquée sur le mobilier développé par l'agence AC2M pour Coto."
Un parti-pris moderne
C'est Olivier Delescluse, directeur de création à Paris, qui a été chargé de travailler l'identité visuelle du futur hôtel, dont la marque est aujourd'hui déposée : "Avec un parti pris moderne et beaucoup de couleurs : une palette de cinq nuances calquée sur le mobilier développé par l'agence AC2M pour Coto."
Un an après, le succès est encore au rendez-vous. "Nous frôlons les 70 % de taux de remplissage avec une clientèle à
65 % étrangère", explique Anne Chenu, la directrice, d'où
le choix de dupliquer le concept "très rapidement". Tout d'abord "régionalement"
avec l'acquisition du Saint-Georges à Nuits-Saint-Georges, le 13 septembre
dernier.
Fort de 50 chambres et situé en sortie d'autoroute entre la Cité de la gastronomie de Dijon et
la Cité des Vins de Beaune, au
coeur des vignobles, l'hôtel possède de nombreux atouts. "Il conservera l'ADN
de la marque développée sur Beaune, mais avec une palette de couleurs
élargie", explique Olivier Delescluse.
Pour l'heure, la question de la restauration reste en suspens : réponse lors de l'ouverture, prévue au printemps.
Pour l'heure, la question de la restauration reste en suspens : réponse lors de l'ouverture, prévue au printemps.
Publié par Myriam HENRY
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