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David
Mancuso, DJ
new-yorkais, était réputé pour sa conception singulière du clubbing dans les
années 1970. C'est donc tout naturellement que Guillaume Taillieu et Philippe
Bonnet ont appelé leur restaurant audiophile - le premier du genre en
France selon les associés - le Café Mancuso, ouvert début novembre dans le
centre de Bordeaux. Ce concept
de lieu, hors club, où l'on vient faire une expérience d'écoute de la musique
via un système haute fidélité, est né au Japon. Guillaume Taillieu l'a
découvert à Londres, où il travaillait dans des bars et des restaurants. Pour
ce passionné de musique, DJ et fondateur d'un label, c'est le déclic.
Il s'associe à Philippe Bonnet, alors responsable de salle dans des hôtels de luxe, pour créer ce lieu atypique de 32 places, à la fois restaurant, bar, café et disquaire. "Nous mettons en avant une belle ambiance sonore. La console occupe une place centrale dans le restaurant. Du jeudi au samedi soirs, des artistes viennent jouer des vinyles. Nous avons posé des panneaux de liège au plafond pour améliorer la qualité sonore de la pièce, et investi 20 000 € dans du matériel hi-fi haut de gamme : des amplis spécifiques d'occasion et du matériel pour l'assemblage, dont la qualité est essentielle", précise Guillaume Taillieu.
Un succès immédiat
Philippe Bonnet prépare une cuisine fraîche de saison. À la carte le midi, des salades, des soupes, des tartines et des plats plus élaborés également servis le soir : ceviche de lieu noir, leche de tigre au piment, mangue et mais grillé (13 €), crispy pork belly confit au lait, pomme de terre et carottes rôties (15 €), des planches et tapas à partager… "Cela marche très bien, nous avons de bons retours tant sur le concept que sur la décoration et la cuisine. Nous cherchons un chef car nous sommes en sous-effectif : nous refusons des réservations et nous aimerions pouvoir ouvrir les mardis et mercredis soir", souligne Guillaume Taillieu. La clientèle de trentenaires (et plus) est plutôt féminine. "Les clients du soir savent à quoi s'attendre : notre ambiance musicale est pointue et on monte le son", ajoute-t-il. En bas, une salle - avec canapés et table de ping-pong - est privatisable. Les associés aimeraient initier des concerts externalisés au nom du café, et pourquoi pas en ouvrir un à Paris.
#CaféMancuso# #Bordeaux# #caféaudiophile#
Il s'associe à Philippe Bonnet, alors responsable de salle dans des hôtels de luxe, pour créer ce lieu atypique de 32 places, à la fois restaurant, bar, café et disquaire. "Nous mettons en avant une belle ambiance sonore. La console occupe une place centrale dans le restaurant. Du jeudi au samedi soirs, des artistes viennent jouer des vinyles. Nous avons posé des panneaux de liège au plafond pour améliorer la qualité sonore de la pièce, et investi 20 000 € dans du matériel hi-fi haut de gamme : des amplis spécifiques d'occasion et du matériel pour l'assemblage, dont la qualité est essentielle", précise Guillaume Taillieu.
Un succès immédiat
Philippe Bonnet prépare une cuisine fraîche de saison. À la carte le midi, des salades, des soupes, des tartines et des plats plus élaborés également servis le soir : ceviche de lieu noir, leche de tigre au piment, mangue et mais grillé (13 €), crispy pork belly confit au lait, pomme de terre et carottes rôties (15 €), des planches et tapas à partager… "Cela marche très bien, nous avons de bons retours tant sur le concept que sur la décoration et la cuisine. Nous cherchons un chef car nous sommes en sous-effectif : nous refusons des réservations et nous aimerions pouvoir ouvrir les mardis et mercredis soir", souligne Guillaume Taillieu. La clientèle de trentenaires (et plus) est plutôt féminine. "Les clients du soir savent à quoi s'attendre : notre ambiance musicale est pointue et on monte le son", ajoute-t-il. En bas, une salle - avec canapés et table de ping-pong - est privatisable. Les associés aimeraient initier des concerts externalisés au nom du café, et pourquoi pas en ouvrir un à Paris.
#CaféMancuso# #Bordeaux# #caféaudiophile#
Publié par Laetitia Bonnet Mundschau
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