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Au Boeuf couronné
(Paris XIXe) propose une carte axée sur la viande qui, à sa création en 1865, provenait
des abattoirs voisins. Propriétaire du restaurant depuis 2001, le groupe Gérard
Joulie, qui investit dorénavant aussi dans l'hôtellerie, a racheté tout le
bâtiment il y a trois ans. L'hôtel existant "qui était plus à vocation
sociale" et la salle du restaurant située au premier étage se sont métamorphosés
en un hôtel de 42 chambres classé trois étoiles. "C'est un choix
commercial qui s'inscrit dans le quartier et l'offre environnante. On est
installé près d'une porte de Paris, on préfère donc mettre en avant une très belle offre
dans la catégorie trois étoiles", explique le directeur de l'hôtel, Carlo
Ligas.
Le défi : faire connaître l'hôtel à partir du restaurant
Fidèle à l'esprit de la brasserie, l'architecte Fabrice Ausset s'attache à l'histoire des halles de La Villette et privilégie l'évocation plus que l'explicite. La salle du petit déjeuner expose une série de photos anciennes du quartier avec bestiaux et atmosphères de restaurants. Les clins d'oeil aux ruminants sont discrets et stylisés, comme la tête de vache du logo sur la porte qui sépare le restaurant de son hôtel. Tous les éléments de décor ont été réalisés par des artisans et sont des pièces uniques. Parmi les matières présentes dans les chambres, on trouve le bois, le marbre, le laiton et le cuir. La carte du restaurant y figure en bonne place et sur le site, des offres demi-pension sont soulignées. Le directeur remarque que les chiffres du restaurant sont en progression par rapport à l'été 2016.
La clientèle séduite par la proximité avec le périphérique
Ce qui s'annonçait désavantageux s'avère être un atout. Depuis l'ouverture en juin, le directeur observe un intérêt pour cette facilité d'accès de la part des clients de passage à Paris en voiture. La Cité de la musique et les nombreuses sociétés qui s'installent à Pantin (Seine-Saint-Denis) sont bien sûr d'autres atouts. Heureux d'avoir tout à créer en termes d'accueil, Carlo Ligas considère le contact humain comme primordial aujourd'hui. "Les clients doivent se sentir accompagnés dès qu'ils passent la porte. Conseils comme dans un bureau de tourisme et assistance dans l'optimisation de leurs transports, la communication, c'est ce qui nous permet de faire la différence."
Le défi : faire connaître l'hôtel à partir du restaurant
Fidèle à l'esprit de la brasserie, l'architecte Fabrice Ausset s'attache à l'histoire des halles de La Villette et privilégie l'évocation plus que l'explicite. La salle du petit déjeuner expose une série de photos anciennes du quartier avec bestiaux et atmosphères de restaurants. Les clins d'oeil aux ruminants sont discrets et stylisés, comme la tête de vache du logo sur la porte qui sépare le restaurant de son hôtel. Tous les éléments de décor ont été réalisés par des artisans et sont des pièces uniques. Parmi les matières présentes dans les chambres, on trouve le bois, le marbre, le laiton et le cuir. La carte du restaurant y figure en bonne place et sur le site, des offres demi-pension sont soulignées. Le directeur remarque que les chiffres du restaurant sont en progression par rapport à l'été 2016.
La clientèle séduite par la proximité avec le périphérique
Ce qui s'annonçait désavantageux s'avère être un atout. Depuis l'ouverture en juin, le directeur observe un intérêt pour cette facilité d'accès de la part des clients de passage à Paris en voiture. La Cité de la musique et les nombreuses sociétés qui s'installent à Pantin (Seine-Saint-Denis) sont bien sûr d'autres atouts. Heureux d'avoir tout à créer en termes d'accueil, Carlo Ligas considère le contact humain comme primordial aujourd'hui. "Les clients doivent se sentir accompagnés dès qu'ils passent la porte. Conseils comme dans un bureau de tourisme et assistance dans l'optimisation de leurs transports, la communication, c'est ce qui nous permet de faire la différence."
Publié par Caroline MIGNOT
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