Etats Généraux de la restauration

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Michel

mercredi 8 avril 2009

Tout à fait d'accord, ce forum est libre et démocratique. La contradiction fait partie des échanges.
Kenavo
PS : j'ai fait défilé le bagad de Lann Bihoué à Montmartre au mois février 2009. Je suis originaire de Saint Caradec (22)

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Jean-Luc FESSARD

vendredi 10 avril 2009

Le Prix, le Salaire, l'Emploi, la Formation
Ces 4 axes sont au coeur de la discussion pour relancer l'activité et l'emploi, mais tous les restaurateurs n'ont pas forcément les même besoins, pour l'un c'est baisser ses prix, pour l'autre c'est payer plus ses collaborateurs, pour le 3ème c'est embaucher et enfin pour beaucoup c'est mieux former ses équipes. Pourquoi ne pas demander à chaque restaurateur qu'il s'engage sur un plan à 3 ans pour concentrer l'emploi des ressources dégagées par la baisse de TVA sur l'axe ou les axes les plus pertinents pour son restaurant:
Soit une baisse de prix
Soit une augmentation des salaires
Soit des créations d'emploi
Soit un plan de formation important
Avec une possibilité de moduler ses actions chaque année.
Qu'en penses-tu Bernard?
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Michel

jeudi 9 avril 2009

Que pensez-vous de cette phrase (l'hôtellerie du 19/03/09)

"Il faut maintenant que la profession respecte ses engagements en matière de salaires, d'embauches et de prix. On a un président de la République qui a respecté sa parole. Si on ne respecte pas la nôtre, on se déshonore(...)
Quant à la baisse des prix, il faut qu'elle soit bien organisée et n'entraîne pas une baisse de chiffre d'affaires. Par exemple, on peut proposer le 2e café à moitié prix afin d'inciter les consommateurs à le prendre". André Daguin
Didier Chenet demande une diminution de 0.3 cts d'euros pour le café.
L'honneur de la profession chiffré à la moitié du prix du 2e café ou à une diminution de 0.3 cts!
Est-ce bien sérieux et acceptable?
Les choses étant ce qu'elles sont.Cette proposition déshonore leurs auteurs.

Qu'un représentant syndical ne soit plus en activité...
... ne me paraît pas être un problème fondamental. Cela peut également être un avantage : il peut alors consacrer tout son temps au syndicat. Toutefois, si cela n'est pas un problème, c'est bien à condition qu'il soit à l'écoute de la profession et soit bien entouré, ce qui ne semble pas être beaucoup le cas.

Le statut, le CV, les fanfaronnades ne sont rien, à côté de ses obligations de compétence, d'efficacité et de résultats.

Encore en activité ou pas, ce sont les propositions du "chef syndicaliste" qu'il faut examiner et décortiquer. Détecter toutes les manœuvres dilatoires, dénoncer les actes démagogiques (et il y en a beaucoup chez nos patrons de syndicats hôteliers !), bref, chercher l'erreur. Et surtout faire comprendre que ce sont pas une poignée de "représentants" des syndicats qui peuvent prendre des décisions sans jamais consulter la base. C'est pourtant ce qui se passe.

> La résignation est le pire que la profession puisse vivre. Que l'on élise des représentants, même s'ils ne sont pas représentatifs, soit. Mais il faut les contrôler, ne pas leur signer de chèques en blanc, les avertir quand ils dépassent les limites acceptables, les obliger à un devoir de respect et de loyauté envers la profession. Qui leur rappelle vraiment leurs obligations ?

Je rappelle aussi (mais, est-ce si nécessaire ?) que défendre la profession, c'est aussi défendre les intérêts des clients de la profession. Nos syndicalistes en restauration et en hôtellerie ont tendance à trop souvent l'oublier, contrairement à ceux de l'hôtellerie de plein air. Heureusement qu'un vent nouveau arrive avec Christine Pujol.

Michel a raison. Le dossier de la TVA est un vrai cadeau empoisonné. Les syndicats n'ont rien entre les mains pour négocier et sont déjà si peu pris au sérieux depuis des années. Ils risquent de ne pas grandir face au gouvernement qui les a piégés en contrepartie de la baisse de la TVA. On attend du concret, tout comme le public l'attend (par une baisse perceptible et sincère des prix, pour ces derniers). Ils en ont assez des simples effets d'annonces.
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thierry lebelem

jeudi 9 avril 2009

significative????????
Comment avoir une baisse significative sur nos cartes si l on veut revaloriser vers le haut je dis vers le haut les salaires de nos equipes qui le méritent ?
Chacun peut calculer l impact que pourrait avoir la baisse de la tva a 5.5 sur la part nourriture dans notre trésorerie apres la suppression immédiate de nos aides en chr . La somme n est pas
n égligeable mais soyons realiste on ne pourra pas jouer sur tous les postes.

Donc, vous voulez que les clients paient aujourd'hui...
...pour les professionnels, ce que les professionnels auraient dû faire il y a déjà longtemps.
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thierry lebelem

jeudi 9 avril 2009

Le client
en règlant son addition à toujours participé à la part salariale si je ne me trompe ?
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thierry lebelem

jeudi 9 avril 2009

et oui
nous savons tous que les salaires dans notre profession ne sont pas à la hauteur des esperances de nos salaries je crois que la solution passe par cette baisse de tva .
mon équipe attend cela et l explique à notre clientéle qui ne le voit pas d un mauvais oeil loin de là.
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Comité Modernisation Hôtellerie

vendredi 10 avril 2009

Thierry, si vous voulez agmenter les salaires...
... bravo ! Je dirais que c'est la moindre des choses et la profession aurait dû s'y atteler depuis longtemps.

Mon propos était de dire que les clients ont effectivement déjà payé - et selon eux - plutôt chèrement, ce qu'ils n'ont pas forcément obtenus : des restaurants modernisés, un service parfait, des repas à leur goût. A présent que la TVA va baisser, on prétend leur donner enfin ce qu'ils attendent depuis longtemps.

Vous, et la plupart des restaurateurs, nous parlez constamment de vos charges, de vos frais, de vos prélèvements obligatoires importants, de votre TVA à 5,5 % en achats et à 19,6 % en ventes. Mais s'il n'y avait que la restauration à subir cette situation, cela se saurait. TOUTES les entreprises établies en France ont les mêmes contraintes que vous, même à des degrés plus ou moins importants en termes de recherche de personnel qualifié et motivé.

Donc, arrêtez de vous plaindre constamment. Cela dure depuis trop longtemps. Nous voudrions tous que les charges baissent. Evidemment.

Mais s'il y a tant de défaillances dans les restaurants français c'est uniquement (ou quasiment uniquement, parce qu'il y a aussi des mauvais gestionnaires) parce que les restaurants manquent de clients. Et si les clients viennent moins ou plus du tout, c'est seulement parce que les restaurateurs n'ont pas su ou ne savent plus comment les attirer, leur donner l'envie et les retenir. Il n'y a pas d'autre explication.

Votre problème, c'est le chiffre d'affaires et le seuil de rentabilité qui n'est plus atteint. Pas les charges.

Aussi, ce différentiel de TVA tant attendu devrait servir principalement à relancer l'activité, et seulement à ça.
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thierry lebelem

vendredi 10 avril 2009

achats revente
je suis d accord avec une grande partie de votre résonnementCMH je ne me plaints pas depuis quelques années je vais a mon établissement avec le sourire ce n est pas tous les jours faciles mais je suis de ceux qui aiment et qui en redemandent un peu maso peut etre .
pour la profession qui comme nous achete à 5.5 et revend à 19.6 je veux bien la connaitre facture à l appui
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Comité Modernisation Hôtellerie

vendredi 10 avril 2009

Décidément, acheter à 5,5 % et revendre à 19,6 %...
... n'a aucune incidence sur votre gestion. Combien de fois faudra-t-il le répéter ? Au contraire, vous vous faites de la trésorerie que vous ne feriez pas en achetant et en revendant avec un même taux de TVA.
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thierry lebelem

vendredi 10 avril 2009

ce n est pas moi
c est vous qui avez remis le couvert CMH.

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