Depuis l'ouverture de son établissement phare dans le quartier huppé de Londres à Mayfair, Coya s’est développé à Dubaï, Abu Dhabi, Doha, City (Londres), Monaco, Paris en 2019, Mykonos, Riyadh, Marbella et le tout dernier à Barcelone en juillet 2023.
Ses points forts ? La cuisine péruvienne aux influences sud-américaines, chinoises et japonaises. D'un Coya à l'autre, les clients retrouvent les plats signatures : Bar “Clásico” (bar, leche de tigre, aji limo, patate douce maïs choclo, oignon rouge – 18 euros) pour les ceviches, Sériole & Caviar (piment vert, daikon, caviar Baeri – 25 euros) pour les tiraditos Trio de Maïs (maïs grillé, cancha frit, poivron rouge à la braise, menthe – 13 euros) ou Filet de Bœuf Epicé (bœuf, oignons croustillants, ají limo, anis étoilé, poivre de szechuan – 45 euros). « C’est une cuisine qui a l’avantage d’être healthy, à base de produits frais de qualité. Notre clientèle, en moyenne les 30/55 ans, voyagent et trouvent leurs repères chez Coya. Ils viennent plusieurs fois par mois », explique le Français Yannis Stanisière, DG de Coya.
Coya, ce sont aussi des restaurant de grand volume (700 m2 en moyenne) entre 120 et 140 places, à la décoration impressionnante signée par le Studio Sagrada pour une immersion péruvienne, l’ambiance festive du Pisco Bar (une quarantaine de places) avec une offre cocktails variée et créative alcoolisée ou non, le tout avec la musique latino de Coya Music et la fragrance Coya, vendue également en bougie et en produits pour le corps. « Coya, c’est une offre à 360 degrés. Nous avons construit une marque solide devenue une institution, assure Yannis Stanisière. Nous ne sommes pas dans une course effrénée au développement. Nous prévoyons un total de 16 restaurants fin 2025 ». Athènes et Milan sont en bonne voie. Coya envisage sérieusement Rome, Ibiza, Genève et investir aux Etats-Unis : Los Angeles, Las Vegas et Miami.
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Publié par Nadine LEMOINE