Nathalie Hamon : Sans les associations de parents d'élèves (APE), notre fédération ne pourrait exister. Aussi, nous voulons leur apporter notre soutien, en leur fournissant notamment des outils informatiques et des moyens logistiques. Dans le même temps, nous prospectons vers d'autres APE pour grossir nos rangs : je pense notamment à l'APE de Paris, au lycée Jean Drouant ou à celle de Toulon, liée au lycée Anne-Sophie Pic.
Cette rentrée va-t-elle être l'occasion de vous rapprocher d'autres acteurs de l'enseignement hôtelier ?
Nous avons établi des contacts avec l'Aflyht, l'Anephot, ainsi qu'avec Michel Lugnier, inspecteur général de l'Éducation nationale. Car nous voulons informer les APE sur les projets ou les réformes en cours, en temps réel, via notre site internet et les réseaux sociaux.
La Fnapeeht manque de bénévoles. Comment faire pour inciter des parents d'élèves à s'impliquer à vos côtés ?
Devenir bénévole, c'est une façon de suivre au plus près le cursus de ses enfants. Le fait d'appartenir à une APE permet aussi de mieux connaître la vie du lycée et ainsi de mieux comprendre les contraintes du corps enseignant.
Publié par Anne EVEILLARD