Thibaut Gamba
Pendant quatre ans, Thibaut Gamba a appris « les grandes bases classiques de la cuisine» chez Lasserre avant de développer sa créativité, d'abord chez Gagnaire avant de filer à New-York chez Thomas Keller (Per Se).
Depuis 2 ans, il a pris les commandes d'un restaurant à Bergen, une petite ville en Norvège au pays des fjords. « Pendant 10 ans, j'ai travaillé auprès des plus grands. J'y ai appris la religion des bons produits associée à de nouvelles techniques. En Norvège et en Scandinavie de façon générale, il y a une nouvelle génération de chefs qui « cartonnent ».
Son prochain défi ? Ouvrir son propre restaurant à Paris associé avec son frère, Lorenzo, qui vient de passer une année en cuisine à ses côtés après avoir quitté l'univers de la finance.
Sa cuisine ? Il a « touché » à tout mais il aime beaucoup travailler le poisson (qui représentera 70% de son offre). De son grand-père italien, il a gardé l'amour des produits du Sud. Son projet est clairement de rentrer dans « la course » aux distinctions. Il est à la recherche, sur Paris, d'un local pour 60 couverts. La décoration sera design et moderne.
Thibaut Gamba proposera plusieurs formules :
‐ A midi, un menu à 40€ (trois plats) ;
‐ Le soir, un menu à 50€ (quatre plats) ;
‐ Le grand menu dégustation (sept plats) sera à 90€.
Hubert Duchenne
A 27 ans, Hubert Duchenne a un seul objectif depuis des années. Ouvrir sa propre affaire avant 30 ans, à Paris. Depuis bientôt dix ans, il multiplie donc les expériences chez des chefs en sachant exactement, chez qui, et pourquoi il veut y travailler. A part une escapade en Alsace, au Chambard (Kaysersberg), il tourne « à Paris ». Après Le Spoon, Lasserre, le George V, Thoumieux, Le Sémilla, il vient de passer deux années chez Akrame.
« J'ai envie de faire découvrir MA cuisine. Elle est axée sur le végétal, la saisonnalité des produits. J'ai envie de dénicher de petits producteurs. Je fais une cuisine de "l'instant" et je pense que pour 25 convives, on peut avoir l'oeil sur la qualité chaque jour. »
Son restaurant serait idéalement dans le 11ème ou le 4ème arrondissement de Paris :
‐ 25 à 30 convives ;
‐ Menu midi à 30€ qui s'ordonne autour de deux entrées, deux plats et deux desserts au choix ;
‐ Menu soir à 50€ et 70€, en cinq ou sept temps, au gré de l'inspiration du chef.
Noémie Honiat et Quentin Bourdy
Ils se sont rencontrés à Top Chef. Quentin Bourdy reprend l'affaire familiale créée par ses arrière grands-parents à Villefranche-de-Rouergue, en Aveyron. Il investit près d'un demi-million pour « dépoussiérer » la maison l'Univers. Noémie le rejoint à l'été 2013.
Mariés depuis octobre dernier, leur premier bébé bien à eux sera Maître Jacques : une cave en sous-sol, pleine de charme, située au bout du pont qui traverse la Rivière. Leur but : faire revivre et perdurer la cuisine authentique du Rouergue « d'avant », dans une vaisselle en terre cuite.
« Nous sommes des passionnés, nous faisons une cuisine d'amour. Pour 14 euros, nous proposerons une salade ou une soupe ; deux plats au choix, 100% à base de produits de l'Aveyron, bio. Il y aura aussi une petite épicerie. Nous avons prévu d'ouvrir au mois de mai. »
Pendant quatre ans, Thibaut Gamba a appris « les grandes bases classiques de la cuisine» chez Lasserre avant de développer sa créativité, d'abord chez Gagnaire avant de filer à New-York chez Thomas Keller (Per Se).
Depuis 2 ans, il a pris les commandes d'un restaurant à Bergen, une petite ville en Norvège au pays des fjords. « Pendant 10 ans, j'ai travaillé auprès des plus grands. J'y ai appris la religion des bons produits associée à de nouvelles techniques. En Norvège et en Scandinavie de façon générale, il y a une nouvelle génération de chefs qui « cartonnent ».
Son prochain défi ? Ouvrir son propre restaurant à Paris associé avec son frère, Lorenzo, qui vient de passer une année en cuisine à ses côtés après avoir quitté l'univers de la finance.
Sa cuisine ? Il a « touché » à tout mais il aime beaucoup travailler le poisson (qui représentera 70% de son offre). De son grand-père italien, il a gardé l'amour des produits du Sud. Son projet est clairement de rentrer dans « la course » aux distinctions. Il est à la recherche, sur Paris, d'un local pour 60 couverts. La décoration sera design et moderne.
Thibaut Gamba proposera plusieurs formules :
‐ A midi, un menu à 40€ (trois plats) ;
‐ Le soir, un menu à 50€ (quatre plats) ;
‐ Le grand menu dégustation (sept plats) sera à 90€.
Hubert Duchenne
A 27 ans, Hubert Duchenne a un seul objectif depuis des années. Ouvrir sa propre affaire avant 30 ans, à Paris. Depuis bientôt dix ans, il multiplie donc les expériences chez des chefs en sachant exactement, chez qui, et pourquoi il veut y travailler. A part une escapade en Alsace, au Chambard (Kaysersberg), il tourne « à Paris ». Après Le Spoon, Lasserre, le George V, Thoumieux, Le Sémilla, il vient de passer deux années chez Akrame.
« J'ai envie de faire découvrir MA cuisine. Elle est axée sur le végétal, la saisonnalité des produits. J'ai envie de dénicher de petits producteurs. Je fais une cuisine de "l'instant" et je pense que pour 25 convives, on peut avoir l'oeil sur la qualité chaque jour. »
Son restaurant serait idéalement dans le 11ème ou le 4ème arrondissement de Paris :
‐ 25 à 30 convives ;
‐ Menu midi à 30€ qui s'ordonne autour de deux entrées, deux plats et deux desserts au choix ;
‐ Menu soir à 50€ et 70€, en cinq ou sept temps, au gré de l'inspiration du chef.
Noémie Honiat et Quentin Bourdy
Ils se sont rencontrés à Top Chef. Quentin Bourdy reprend l'affaire familiale créée par ses arrière grands-parents à Villefranche-de-Rouergue, en Aveyron. Il investit près d'un demi-million pour « dépoussiérer » la maison l'Univers. Noémie le rejoint à l'été 2013.
Mariés depuis octobre dernier, leur premier bébé bien à eux sera Maître Jacques : une cave en sous-sol, pleine de charme, située au bout du pont qui traverse la Rivière. Leur but : faire revivre et perdurer la cuisine authentique du Rouergue « d'avant », dans une vaisselle en terre cuite.
« Nous sommes des passionnés, nous faisons une cuisine d'amour. Pour 14 euros, nous proposerons une salade ou une soupe ; deux plats au choix, 100% à base de produits de l'Aveyron, bio. Il y aura aussi une petite épicerie. Nous avons prévu d'ouvrir au mois de mai. »
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