Première réaction
Les représentants de la profession de l’hôtellerie-restauration ont été reçus, à leur demande, au ministère des Solidarités et de la Santé, vendredi 2 octobre. Ils ont toutefois regretté l’absence d’Olivier Veran.
Etre dans la réalité économique et de santé
Plusieurs propositions ont été accueillies favorablement par les pouvoirs publics confirment les participants, notamment concernant la mise en place d’un carnet de rappel, assortie d’une incitation au téléchargement de l’application StopCovid, ou encore l’obligation du paiement à table. Pour la profession, la distance d’un mètre, entre chaque table, doit rester la règle. Parmi les mesures de renforcement, l’institution d’une jauge en fonction des établissements pourrait être mise en place avec une capacité d’accueil qui pourrait être affichée sur la devanture. Au-delà de cette jauge, les clients devraient attendre à l’extérieur.
Non à la mauvaise et fausse image que l’on donne de la profession
Le seul critère qui devait être pris en compte pour décider qu’un établissement, quelle que soit sa nature (restaurant, brasserie ou bar), pour pouvoir rester ouvert devrait être sa capacité à respecter le protocole sanitaire ; et donc à asseoir sa clientèle en respectant les distances de sécurité. Aucun autre critère (classification, consommation ou non de repas ou d’alcool ...) ne se justifie d’un point de vue sanitaire.
Les cartes sont maintenant entre les mains du Haut conseil de santé
La profession espère que les demandes « responsables, raisonnables et réalistes » qu’elle a formulées seront entendues mais surtout comprises.
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