La Bourgogne Franche Comté en Bohème

La bourgogne Franche Comté à travers les délégations des lycées Alexandre Dumaine de Mâcon, et Pontarcher de Vesoul, encadrés par les professeurs de cuisine Laurent Wambroug et Jean-François Cheviron, représentait la France durant la semaine du 21 au 26 avril 2024, en bohême centrale, plus précisément en République Tchèque. Ces rencontres ont été possible, grâce au concours de Lukas Berbr professeur de cuisine, maître d’œuvre de l’évènement.

Cette période a été le théâtre d'un échange avec d'autres écoles hôtelières de nationalité tchèque, allemande et polonaise. Les délégations de chaque pays se sont rendues dans des destinations les plus variées telles que le musée d’art moderne à Kutna Hora (avec notamment des peintures d’Arcimboldo), une mine d’argent toujours à Kutna Hora, une Pizza dans une ferme à Podebrady avec des enfants d’un orphelinat et enfin un circuit dans la très belle ville de Prague.

Parmi de nombreux repas, un dîner de gala a été proposé en compagnie de Mmes Karine L’Hostis et Eve Satin organisatrice des échanges internationaux pour la région Bourgogne-Franche-Comté.

Le menu a été réalisé et partagé en quatre groupes. Chaque groupe était composé des quatre nationalités.

Les français dans chaque groupe :

Pour l’équipe « entrée » (Allemagne) : Alexis Cloupeau et Axel Beranger

-          Salade Vinaigrette

 Pour l’équipe « soupe » (Pologne) : Célia Laimouni et Adèle Coronel

-          Bouillon de poulet, légumes de printemps, nouilles maison.

Pour l’équipe « Plat Principal » (République Tchèque) : Kévin Froment et Basile Marchal

-          Faux filet de bœuf à la sauce à la crème, gélatine de Canegberge, crème fouettée, boulettes de Carldbad

Pour l’équipe « Dessert » (France) : Sacha Lavigne (Captain), Nisrine Charkane

-          Meringue croquante de Mâcon, nougat, gâteau aux noisettes avec liqueur de cassis

« L’expérience de nos jeunes a été très concluante, leur comportement irréprochable a donné une belle image de notre belle région et de nos lycées professionnels. » conclue Jean-François Cheviron.