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Pourquoi cette nouvelle structure ? Quel est son rôle ?
Les cinq départements – Calvados, Eure, Manche, Orne et Seine-Maritime – ont décidé de constituer une union régionale. Il existait déjà une Umih régionale en Normandie, sous l'égide de la Basse-Normandie. Il s'agissait désormais de s'inscrire dans la nouvelle carte des régions. L'Umih nationale estime à juste titre qu'il est important pour la profession de s'impliquer à l'échelon des régions. Les Umih départementales conservent leur totale indépendance. L'Umih régional n'a pas vocation, par exemple, à aller chercher des adhérents. Les compétences de l'Umih de la Région Normandie vont se calquer sur les compétences administrative et politique de la région, en particulier en matière d'emploi, de formation, de développement économique et touristique.
Vous venez d'être élu président de l'Umih de la Région Normandie mais vous êtes issu de la CPIH. Votre sentiment ?
La fusion de la CPIH au sein de l'Umih est effective depuis cette année. L'Eure est donc devenu un bureau départemental Umih. Même si nous n'étions pas sous la même étiquette, nous avons toujours travaillé de concert quand c'était nécessaire. Les problématiques sont communes et les choses se sont faites naturellement. Nous nous connaissons et nous avons confiance les uns dans les autres, c'est ce qu'il faut retenir. L'Umih de la région Normandie est constituée d'un président et de 5 vice-présidents (un par département) et de 5 délégués (un par département également). Le siège se situe à Pont-L'Evèque, dans les bureaux de l'Umih 14.
Vos priorités ?
L'idée est bien de peser régionalement, que ce soit au sein du Medef ou de la CGPME, mais aussi des CCI. Nous voulons également être acteurs de l'apprentissage. Il faut ouvrir des classes, mais pas n'importe comment. L'Orne a initié une opération annuelle avec la Banque alimentaire, afin d'offrir des repas de Noël aux personnes en difficulté. C'est une belle opération et nous allons l'étendre en 2016, le 7 décembre, à tous les départements normands. La région a aussi un rôle à jouer sur l'image de la profession.
Les cinq départements – Calvados, Eure, Manche, Orne et Seine-Maritime – ont décidé de constituer une union régionale. Il existait déjà une Umih régionale en Normandie, sous l'égide de la Basse-Normandie. Il s'agissait désormais de s'inscrire dans la nouvelle carte des régions. L'Umih nationale estime à juste titre qu'il est important pour la profession de s'impliquer à l'échelon des régions. Les Umih départementales conservent leur totale indépendance. L'Umih régional n'a pas vocation, par exemple, à aller chercher des adhérents. Les compétences de l'Umih de la Région Normandie vont se calquer sur les compétences administrative et politique de la région, en particulier en matière d'emploi, de formation, de développement économique et touristique.
Vous venez d'être élu président de l'Umih de la Région Normandie mais vous êtes issu de la CPIH. Votre sentiment ?
La fusion de la CPIH au sein de l'Umih est effective depuis cette année. L'Eure est donc devenu un bureau départemental Umih. Même si nous n'étions pas sous la même étiquette, nous avons toujours travaillé de concert quand c'était nécessaire. Les problématiques sont communes et les choses se sont faites naturellement. Nous nous connaissons et nous avons confiance les uns dans les autres, c'est ce qu'il faut retenir. L'Umih de la région Normandie est constituée d'un président et de 5 vice-présidents (un par département) et de 5 délégués (un par département également). Le siège se situe à Pont-L'Evèque, dans les bureaux de l'Umih 14.
Vos priorités ?
L'idée est bien de peser régionalement, que ce soit au sein du Medef ou de la CGPME, mais aussi des CCI. Nous voulons également être acteurs de l'apprentissage. Il faut ouvrir des classes, mais pas n'importe comment. L'Orne a initié une opération annuelle avec la Banque alimentaire, afin d'offrir des repas de Noël aux personnes en difficulté. C'est une belle opération et nous allons l'étendre en 2016, le 7 décembre, à tous les départements normands. La région a aussi un rôle à jouer sur l'image de la profession.
Publié par Sylvie SOUBES
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