• Activité hôtels bureau
Le commentaire de Jérôme Cesbron, directeur du cabinet
Michel Simond La Rochelle
Les départements de Charente et Charente-Maritime enregistrent une demande, importante pour des hôtels-bureaux, d'acquéreurs majoritairement en reconversion. Cette demande est plus forte sur le littoral, pour des affaires murs et fonds d'une capacité supérieure à 20 chambres. La qualité du logement de fonction est un critère important.
Pour cette zone, le prix de vente du fonds de commerce seul oscille entre 1,6 et 2,2 fois le chiffre d'affaires.
• Activité hôtels-restaurants
Le commentaire de Jean-Philippe Gard, directeur du cabinet
Michel Simond Bayonne
L'évolution du marché dans les Landes, les Pyrénées-Atlantiques et les Hautes-Pyrénées reste fluctuante en fonction de la zone (côtière ou intérieure). En zone intérieure, les prix baissent en moyenne de 4 % alors qu'ils restent stables sur le littoral. Globalement pour ces zones, le volume de transactions est faible en raison d'un niveau de rentabilité moindre. Malgré des apports conséquents, les financements sont difficiles. Sur le plan national, le volume des transactions est en légère hausse avec un accroissement des demandes.
Le commentaire de Jérôme Cesbron, directeur du cabinet
Michel Simond La Rochelle
Les départements de Charente et Charente-Maritime enregistrent une demande, importante pour des hôtels-bureaux, d'acquéreurs majoritairement en reconversion. Cette demande est plus forte sur le littoral, pour des affaires murs et fonds d'une capacité supérieure à 20 chambres. La qualité du logement de fonction est un critère important.
Pour cette zone, le prix de vente du fonds de commerce seul oscille entre 1,6 et 2,2 fois le chiffre d'affaires.
• Activité hôtels-restaurants
Le commentaire de Jean-Philippe Gard, directeur du cabinet
Michel Simond Bayonne
L'évolution du marché dans les Landes, les Pyrénées-Atlantiques et les Hautes-Pyrénées reste fluctuante en fonction de la zone (côtière ou intérieure). En zone intérieure, les prix baissent en moyenne de 4 % alors qu'ils restent stables sur le littoral. Globalement pour ces zones, le volume de transactions est faible en raison d'un niveau de rentabilité moindre. Malgré des apports conséquents, les financements sont difficiles. Sur le plan national, le volume des transactions est en légère hausse avec un accroissement des demandes.
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