► “Quels sont vos qualités et vos défauts ?”
Stratégique, c’est la question piège qui revient le plus souvent. L’enjeu est d’évaluer votre savoir être et de cerner votre personnalité. Sans jamais éluder, il faut répondre avec malice. Comment ? En pointant les défauts les plus avouables, avant de les retourner - habilement - en atouts. Exemple : être tatillon ou autoritaire peut s’avérer fort utile quand on intègre une brigade !
► Du concret
Parler de ses qualités, c’est bien. Les illustrer avec des exemples parlants, c’est mieux. Cela aura davantage d’impact auprès du recruteur. Une astuce : bien lire les détails de l’offre et du poste à pourvoir pour en déduire les qualités exigées et se mettre au diapason. Évidemment, on ne triche pas au point d’avancer des qualités qui sont en réalité les pires de vos défauts !
► Vie privée : attention danger !
Quoiqu’interdites, les recruteurs posent parfois des questions sur la vie privée. L’une des plus courantes concerne les enfants. L’objectif du recruteur est de savoir si vous arriverez à concilier vie professionnelle et vie personnelle. Sans entrer dans les détails qui ne concernent que vous, cherchez à rassurer l’employeur. Vous pourrez par exemple expliquer que les horaires du poste n’entreront jamais en conflit avec votre emploi du temps familial, ou que vous avez bien conscience que travailler dans l’hôtellerie-restauration n’est pas de tout repos, mais que c’est un choix assumé.
Publié par Mylène SACKSICK