Ça vous est arrivé : condamné pour non-justification du temps de travail

L'employeur doit mettre en place des fiches individuelles d'horaires afin d'établir le temps de travail de ses salariés. En ne respectant pas cette obligation il prend le risque de se voir condamné à payer des heures supplémentaires aux salariés qui font un recours devant le conseil des prud'hommes. Cas concret.

Publié le 13 avril 2016 à 12:15


La société Les Terrasses ensoleillées exploite un restaurant à Paris. Monsieur Vigneron a été engagé par contrat à durée indéterminée à compter du 1er octobre 2011 en qualité de serveur responsable pour un salaire brut de 1 600 euros.

Suite à son licenciement par la société Les Terrasses ensoleillées, intervenu le 8 décembre 2013, Monsieur Vigneron saisi le conseil de Prud'hommes d'une  demande de rappel de salaires pour heures supplémentaires et paiement d'une indemnité pour travail dissimulé.

A l'appui de ses demandes, Monsieur Vigneron a versé aux débats les décomptes de son temps de travail qu'il avait pris l'habitude d'établir seul chaque semaine, décomptes non validés par l'employeur.

Par ailleurs, Monsieur Vigneron, qui avait de bons contacts avec deux de ses collègues, a également pu obtenir de ces derniers des attestations témoignant de l'existence des heures supplémentaires effectuées, et notamment du fait que Monsieur Vigneron travaillait en continue de 12 H 00 à 00 H 00, cinq jours par semaine. 

L'employeur ne présente que des témoignages de salariés

Devant les juges, l'employeur a fait valoir que les salariés, y compris Monsieur Vigneron, étaient en coupure à partir de 15 h 00 et ce jusqu'à 18 H 00. Il a notamment produit des attestations de salariés selon lesquelles Madame Châteauroux, gérante de l'établissement, était seule dans l'établissement qui était très peu fréquenté pendant ces horaires, le restaurant étant entouré de bureaux.

Cependant, l'employeur s'était malheureusement abstenu d'enregistrer les horaires réalisés par Monsieur Vigneron sur un registre ou tout autre document, émargé par le salarié. Il n'avait pas non plus installé de pointeuse dans son établissement.

 Le Conseil des Prud'hommes a fait droit à la demande de rappel de salaires pour heures supplémentaires du salarié estimant que la société aurait du tenir en bonne et due forme ces fiches temps.

 Mécontent, l'employeur a fait appel. Le jugement a été confirmé par la Cour d'appel qui a condamné la société au paiement du rappel de salaire pour heures supplémentaire et a ajouté une condamnation à verser des dommages-intérêts équivalents à six mois de salaire pour travail dissimulé pour non déclaration desdites heures supplémentaires.

 
Quelle était la bonne attitude à adopter pour l'employeur ?
En matière de litige relatif aux heures de travail effectuées, la charge de la preuve n'incombe spécialement à aucune des parties. Dans un premier temps, le salarié doit fournir au juge des éléments sérieux à l'appui de sa demande de rémunération des heures supplémentaires, tels que des décomptes quotidiens et des attestations (Cass. soc. 24 mars 2004). Mais, l'employeur doit également être en mesure de fournir des éléments de nature à justifier les horaires effectivement réalisés par le salarié.

 Dans cette optique, la réglementation applicable à l'hôtellerie, aux cafés et aux restaurants prévoit que le chef d'entreprise doit obligatoirement enregistrer sur un registre ou tout autre document l'horaire nominatif et individuel de chaque salarié. Ce document doit être émargé par le salarié au moins une fois par semaine.

 Les fiches de temps ne constituent pas des preuves absolues et peuvent être contestées mais elles demeurent le moyen le plus sûr pour déterminer les horaires de travail réellement effectués.

 Ces fiches temps permettent également à l'employeur de se prémunir contre une condamnation au paiement d'une indemnité pour travail dissimulé.

 En effet, l'article 8221-5, 2° du Code du travail considère comme du travail dissimulé par dissimulation d'emploi salarié le fait pour un employeur de mentionner sur les bulletins de paie un nombre d'heures de travail inférieur à celui réellement accompli. Dès lors, si le salarié atteste avoir effectué des heures supplémentaires non rémunérées et que l'employeur n'est en mesure de produire aucun document établissant le décompte des heures travaillées, émargé par le salarié, le chef d'entreprise s'expose au paiement d'une indemnité pour travail dissimulé égale à six mois de salaire peu important l'ancienneté du salarié dans l'entreprise, ce qui représente une condamnation très lourde pour l'employeur.

 Comment se prémunir contre toute contestation ultérieure lorsque le salarié refuse de signer les fiches temps ?

Dans cette hypothèse, l'employeur doit impérativement conserver un maximum d'éléments de nature à démontrer que les fiches temps qu'il a demandé à son salarié de signer correspondaient bien aux horaires réellement effectués (décompte horaire, attestations...).

Il est par ailleurs important que l'employeur prononce une sanction pouvant aller jusqu'au licenciement à l'encontre du salarié lorsque ce dernier refuse systématiquement de signer une fiche temps qui correspond à la réalité des heures effectuées.


Publié par Juliette Pappo, avocate au barreau de Paris



Commentaires
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MARIE

mercredi 10 décembre 2014

Encore une fois on peut surtout noter comme grande leçon que des salariés mal intentionnés peuvent porter un préjudice grave à un employeur. Car, même avec des fiches de temps valablement pointés, à partir du moment où des salariés s'entendent pour de faux témoignages visant à démontrer que le salarié n'avait pas droit à des coupures (alors que la gérante réunit des attestations d'autres salariés prouvant qu'elle était seule pendant la période où le salarié prétend n'avoir pas fait sa coupure), si comme le souligne si bien l'article 'le pointage et l'émargement des relevés horaires ne constituent pas des preuves absolues, alors il y a lieu de dire que le CP ne rechercher pas la véracité des preuves, et qu'à contrario il se satisfait de fausses déclarations.
A partir de ce constat, dès qu'il y a faux témoignages, il vaut mieux se diriger immédiatement vers la juridiction pénale, et attraire les auteurs des fausses attestations, en Correctionnelle.
Cela permettant de bloquer la juridiction civile, et généralement , tout le petit monde auteur de faux témoignages, perd vite ses moyens devant le Procureur !
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Daniel GILLOT

mercredi 10 décembre 2014

Je pense que cela veut également dire qu'il faut installer une pointeuse pour enregistrer toutes les entrées et toutes les sorties et donc les coupures. dg
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MARIE

mercredi 10 décembre 2014

En principe cela devrait suffire . Mais, comme le dit si bien l'auteur de l'article, les fiches de temps ne constituent pas des preuves absolues.
Car, même en présence de preuve, avec une coalition de salariés malintentionnés, qui attestent et fournissent sciemment de faux témoignages (ils peuvent très bien affirmer que l'employeur demandait de ne pas pointer tous les horaires etc...). En règle générale, le CP (et la Cour d'Appel) ne recherche pas la véracité des témoignages, alors que cela devrait être la préoccupation des juges.
Evidemment, en estant au pénal, les conditions changent, et justement l'authenticité de la preuve est importante. Au civil, très souvent les juges se contentent du simple fait qu'il y a une attestation... peu importe son inanité !
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Pascale CARBILLET

jeudi 11 décembre 2014

Attention ! Dans cette affaire l'employeur n'avait pas mis en place de feuille de décompte journalier du temps de travail, c'est ce qui lui a coûté cher. les juges n'ont pas pris en compte les témoignages de ses salariés car il n'avait pas mis en place ces décomptes alors qu'il s'agit d'une obligation.
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MARIE

jeudi 11 décembre 2014

certes, mais l'avocate qui écrit ce compte rendu prend bien la peine de souligner que ' les fiches de temps ne constituent pas des preuves absolues et peuvent être constestées'. Dans ce cas, même si l'employeur a commis l'erreur de ne pas mettre en place le pointage des horaires, il y a quand même bien lieu de penser à de la mauvaise foi de la part de ceux qui attestent avoir vu le salarié à l'oeuvre (alors qu'il était en coupure, et que cela a été corroboré par les témoignages des salariés).
On est visiblement en présence de FAUX témoignages de la part de certains, et il eût été sans doute convenant que l'employeur attaque ces faux témoignages devant la juridiction pénale... généralement, c'est bien plus compliqué devant le Procureur que devant le CP
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Pascale CARBILLET

jeudi 11 décembre 2014

Qui vous dit que les témoignages des salariés produit par l'employeur ne sont pas des faux témoignages eux aussi ? Je ne juge pas je constate.
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MARIE

jeudi 11 décembre 2014

Justement, quand on est sûr de ses témoignages, et de dire la vérité, c'est tout à fait préférable d'aller devant la juridiction pénale.
Les méthodes ne sont pas les mêmes que devant le civil, et en plus, comme il faut verser des provisions, généralement ça fait réfléchir ceux qui racontent et attestent des fadaises...
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Pascale CARBILLET

jeudi 11 décembre 2014

Oui, mais ici ce n'est pas l'employeur qui a choisit d'aller devant les prud'hommes, c'est le salarié qui a introduit le recours. L'employeur est la partie qui se défend. l'article voulait montrer de la nécessité d'établir ces fiches, car en leurs absences les conséquences sont importantes pour l'employeur.
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MARIE

jeudi 11 décembre 2014

C'est très clair qu'il faut établir ces fiches. Ne serait-ce que pour instaurer un climat de confiance et transparence. L'employeur a eu le grand tort de ne l'avoir pas fait.
En revanche, nous voyons rarement des salariés témoigner en faveur de l'employeur ; ce qui est le cas ici puisque l'employeur a réuni des attestations de salariés qui disent que la gérante était seule.
Ces attestations n'ont pas été retenues devant la juridiction civile, qui s'en est tenue au fait de l'absence de pointages.
Dans la mesure où l'employeur est certain de son fait, et de la véracité de ses attestations, il a tout intérêt à attraire les faux-témoins en action pénale. Car, il va y avoir confrontation de témoignages, et chacun sait que les méthodes des tribunaux pénaux sont autrement plus pointues, en matière de preuves et surtout de QUALITE de preuves, que ne le sont les CP.
Dès lors, l'avantage a retenir de la procédure pénale (plus coûteuse au départ, c'est certain : mais le coût est le même pour toutes les parties) c'est qu'elle va rechercher si les attestations des salariés sont fondées, et d'autre part, comment elles ont été obtenues. N'oublions pas que le Juge au pénal va rechercher, enquêter. Les témoins ne seront pas seulement ceux qui délivrent des 'attestations'.
A supposer que l'employeur est sincère, dit vrai quand il affirme que le salarié était en coupure, alors si les affirmations du salarié demandeur sont infirmées, il va se passer la chose suivante :
1° l'accusation de travail dissimulé tombe (et l'amende qu'a dû écoper l'employeur disparaît),
2° les heures de coupure ne doivent pas être payées
3° muni d'un jugement au pénal, (qui aura préalablement bloqué la Procédure au CP) qui démontre que le salarié a menti et est allé jusqu'à produire des faux, il y a fort à parier que les juges du CP auront plus de mal à retenir les attestations (faux témoignages) puisque nulles de droit.
Voilà pourquoi, je dis que lorsqu'on est certain de son fait, et qu'on dit la vérité, si on est en présence de salariés qui se livrent à des faux témoignages, il ne faut pas hésiter à saisir la juridiction pénale. On a tout à y gagner !
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Albert

lundi 15 décembre 2014

Un systeme de relevés et d'enregistrement des heures de travail est obligatoire depuis des années. Cela peut aller du simple cahier d’écolier à la pointeuse. (Si la pointeuse est chère,mais rapidement amortissable, il ne faut pas négliger le principe du cahier très simple et très sûr). Alors, pourquoi un entrepreneur s'abstient il d'installer un tel dispositif ?... Les raisons d'un tel comportement n'échappent à personne, pas même aux juges qu'il ne faut pas croire nés de la dernière pluie. Toutes les circonlocutions et suspicions de complots salariaux n'y changeront rien: il est évident que l'employeur qui rechigne à de bonnes pratiques en la matière est légitimement soupçonnable de vouloir en tirer quelques petits arrangements avec les lois sociales. Celui ci s'en souviendra. Il ne pouvait non plus ignorer qu'en cas de litige il n'avait aucune chance de gagner et se verrait lourdement condamner. Il lui appartenait aussi de prendre des mesures... 'anti complots'. Avis aux amateurs.
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MARIE

lundi 15 décembre 2014

'Circonlution' : le cahier moyen très simple et très sûr'.... Il disparait : vous faites quoi ??? Qui est légitiment soupçonnable ?
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Albert

lundi 15 décembre 2014

...et si ma tante ?..
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MARIE

lundi 15 décembre 2014

Evidemment 'si ma tante...' ? Sauf, qu'il s'agit bien là du fruit de l'expérience, et que ce que vous appréhendiez comme circonlocutions sont bien des faits réels. Alors expliquez nous maintenant le moyen si 'sûr' de ce cahier ?
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Albert

lundi 15 décembre 2014

Le probleme n'est pas ici de savoir si les employés trichent ou pas. Le problème est l'employeur a t-il ou non rempli ses obligation légales en matière de relevé et de controle du temps de travail.
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Albert

lundi 15 décembre 2014

Quant au cahier (et non pas les fiches) c'est pourtant simple à comprendre. C'est le meilleur système pour les entreprises de moins de 10 salariés. Chaque salarié inscrit dans la bonne colonne son heure (centésimale) d'entrée lorsqu'il arrive, et son heure de sortie lorsqu'il quitte son service, fait la différence et signe. L’employeur valide en fin de journée. Une page par mois pour l'ensemble du personnel. Un total en bas de page en fin de mois par salarié validé par l’employeur et l'employé. Ainsi pas de rectification à postériori ou de fiches contrefaites à la photocopieuse... pas d'erreurs dans les additions d'heures...
Un bon manager n'a que peu de problème de ce genre, il sait détecter les conflits latents, inspire confiance et fait confiance.
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MARIE

lundi 15 décembre 2014

Vous faites semblant de ne pas comprendre ? J'ai évoqué la disparition du cahier. Pas de sa tenue, ni de son suivi. Au fait, tout bon manager doit savoir qu'elles doivent être visées quotidiennent et qu'un récapitulatif hebdomaire est obligatoire. Et, non pas visées une fois par mois.
Ce qui signifie que même si le cahier est tenu, avec rigueur, vous n'êtes pas à l'abri d'un souci.
Vos affirmations 'un bon manager n' a que peu de problème de ce genre, il sait détecter les conflits latents, inspire confiance et fait confiance' m'invitent à vous suggérer de déposer un brevet d'invention.
Gageons qu'à la lecture des témoignages nombreux qui existent, votre initiative connaîtrait un franc succès.
Et, c'est avec une réelle fébrilité que je découvrirais ce vade-mecum du bon manager qui anticipe tout, et qui bien sûr n'a jamais et n'aura jamais de conflits à résoudre !
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Albert

lundi 15 décembre 2014

J'ai très bien compris. Et aussi, comme beaucoup ici, le genre d'employeur que vous pourriez être. On m'avait prévenu... je vous avais sous estimée.
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MARIE

lundi 15 décembre 2014

Etant donné que vous me paraissiez très sûr de votre fait, j'attendais ce vade-mecum du parfait manager, qualité que me vous paraissiez pourtant dominer : vous donnez des leçons, nous attendions des preuves de votre grand savoir !
Une telle démonstration vous eût honoré, plutôt qu'une supputation facile, vaine, fantasque, du 'genre d'employeur que je pourrais être'...
La critique est aisée, l'Art beaucoup plus difficile.
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Albert

lundi 15 décembre 2014

Marie, je viens de parcourir le blog des experts où vous intervenez souvent par des déclarations d'une très grande rigidité intellectuelle. D'après vous, toutes les difficultés rencontrées dans la vie d'un entrepreneur sont le fait de l'Europe, du gouvernement, du système, de l’administration et surtout du personnel salarié qui ne pense qu'à tirer au flan, vous gruger, profiter indument des aides sociales et aspirerait à une vie d'assisté.
Chacune de vos interventions exhale une stupéfiante aigreur existentielle tandis que le regard que vous portez sur la société est affligeant de poujadisme et de désinformation. Ce ne doit être ni gai ni rassurant de travailler à vos cotés... Ne vous étonnez donc pas de toutes les mésaventures qui vous sont arrivées depuis 20 ans. Elles combleraient à elles seules le quota d'enquiquinements de dizaines de carrières de vos collègues plus paisibles. Il y a ici, et en particulier dans les 'experts des blogs' de grands professionnels que vos propos affligent et consternent au point qu'ils hésitent à vous répondre. A qui vous faites presqu'oublier qu' il y a une majorité d' affaires où le climat relationnel est excellent et où les conflits sont traités en temps et en heure, souvent même avant de s'envenimer (car ce sont toujours les mêmes!). Mais le pire c'est que vous donnez de notre profession et du métier d'entrepreneur une image qui décourage vos collègues encore peu expérimentés ou qui doutent.. Pourtant, quelle belle manière de s'épanouir en créant son entreprise, quel plaisir que d'animer ses équipes et d'en recevoir la gratification en voyant vos clients satisfaits et votre affaire prospérer.
J'ai vraiment l'impression que vous êtes passée à coté de bien des bonheurs comme ceux là, pauvre Marie.
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MARIE

mardi 16 décembre 2014

Albert, vos propos n'appartiennent qu'à vous et ont même une connatation diffamatoire : poujadisme, désinformation ; je vous rappelle que la rigueur que vous me reprochez justement est celle dont devrait se targuer tout juriste. A ce point, je me permets humblement de souligner qu'à de multiples occasions j'ai relevé des 'erreurs' qui figuraient sur ce blog.
On ne se refait pas : si on aime la vérité on la défend bec et ongles.
En ce qui concerne le fait de travailler à mes côtés, sachez que j'ai une équipe stable : la plus récente embauche remonte à trois ans, et la plus ancienne a dix ans de maison. Comme quoi, vos appréciations intempestives restent avant tout des supputations de votre crû. Les mésaventures dont je fais part, non pas en 20 ans mais plutôt en 30 ans de carrière, ne sont pas obligatoirement les miennes ; j'ai un passé de salariée syndicaliste (eh oui...) et j'ai été aussi conseiller auprès des Prud'hommes. Vous le comprendrez : ça laisse l'occasion de cotoyer des situations affligeantes (mes propos ne le sont point ils se limitent à retracer des vécus) et toujours regrettables. Qui vous permet d'écrire 'vous êtes passée à côté de bien des bonheurs ?' Que savez-vous de moi, de ma formation ? de mon expérience ? de mes 'bonheurs' justement ? Je pensais qu'un expert s'appuyait sur du factuel, et du juridique.
Quel dommage de constater que faute d'arguments (vous n'avez répondu à aucune de mes questions) vous vous lanciez dans des attaques personnelles étayées par rien.
Soit dit en passant cela aussi est très à la mode en ce moment : il suffit de suivre de nombreux débats pour le constater.
Soyez rassuré, cette technique que vous utilisez ne m'aura pas échappée. Mais, il faut bien davantage que quelques attaques 'gratuites' pour me décourager. Cela fait partie aussi de ma Vérité, et en même temps, de 'grands bonheurs'. Puisque ceux qui m'entourent savent qu'ils peuvent compter sur moi, en toutes circonstances !

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