Flamboyante,
faste, faite de coups d'éclat : c'est ainsi que Francis Scott Fitzgerald appréhende
l'existence. Incarnation des Années folles, l'auteur américain pose ses valises
sur la French Riviera, et y rédigera en partie son chef-d'oeuvre, Gatsby le
Magnifique, paru en 1925.
The Jay Hotel, clin d'oeil à ces deux personnages et à leur époque, a ouvert en avril dernier à Nice. L'enseigne - ex-résidence hôtelière Citadines rénovée de fond en comble par le groupe Honotel - s'ouvre sur un lobby art déco, avec mobilier en marqueterie, lustres à pampilles, canapés Chesterfield en cuir, fauteuils club en velours, gramophone, chevrons en marbre au sol… "Le lobby est un lieu de vie résolument mixte, qui accueille à la fois la réception, un salon, un bar à whisky et la salle de petit déjeuner", précise l'architecte en charge du projet, Stéphane Marteau, de l'agence Espace Gaïa.
Dans l'établissement, les pièces chinées chez des antiquaires de Nice, l'lsle-sur-la-Sorgue et Lyon côtoient des copies de style art déco, des objets design et des meubles dessinés par l'architecte. Les têtes de lit, par exemple, ont été réalisées sur mesure, en conjuguant jonc de laiton, bois de macassar et velours frappé.
Le décor, décliné dans des tons bleu canard et vert émeraude, se veut chic et masculin. "C'est le pendant de la Villa Otero, une autre adresse niçoise d'Honotel [et du réseau HappyCulture, NDLR], décorée de manière très féminine par l'architecte Stéphanie Cayet", note Camille Tournadre, codirectrice de l'établissement.
Pour parfaire ce voyage dans le temps, The Jay Hotel a travaillé la palette des cinq sens : la vue bien sûr, mais aussi le toucher avec des papiers peints texturés et des matières sensuelles comme le velours ou le cuir, l'odorat avec un parfum ambré spécialement conçu pour les lieux, le goût avec des dégustations de whisky, et enfin l'ouïe avec une playlist de musiques jazzy.
The Jay Hotel, clin d'oeil à ces deux personnages et à leur époque, a ouvert en avril dernier à Nice. L'enseigne - ex-résidence hôtelière Citadines rénovée de fond en comble par le groupe Honotel - s'ouvre sur un lobby art déco, avec mobilier en marqueterie, lustres à pampilles, canapés Chesterfield en cuir, fauteuils club en velours, gramophone, chevrons en marbre au sol… "Le lobby est un lieu de vie résolument mixte, qui accueille à la fois la réception, un salon, un bar à whisky et la salle de petit déjeuner", précise l'architecte en charge du projet, Stéphane Marteau, de l'agence Espace Gaïa.
Chic et masculin
Dans l'établissement, les pièces chinées chez des antiquaires de Nice, l'lsle-sur-la-Sorgue et Lyon côtoient des copies de style art déco, des objets design et des meubles dessinés par l'architecte. Les têtes de lit, par exemple, ont été réalisées sur mesure, en conjuguant jonc de laiton, bois de macassar et velours frappé.
Le décor, décliné dans des tons bleu canard et vert émeraude, se veut chic et masculin. "C'est le pendant de la Villa Otero, une autre adresse niçoise d'Honotel [et du réseau HappyCulture, NDLR], décorée de manière très féminine par l'architecte Stéphanie Cayet", note Camille Tournadre, codirectrice de l'établissement.
Pour parfaire ce voyage dans le temps, The Jay Hotel a travaillé la palette des cinq sens : la vue bien sûr, mais aussi le toucher avec des papiers peints texturés et des matières sensuelles comme le velours ou le cuir, l'odorat avec un parfum ambré spécialement conçu pour les lieux, le goût avec des dégustations de whisky, et enfin l'ouïe avec une playlist de musiques jazzy.
Publié par Violaine BRISSART
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