TVA : si on décide de ne pas baisser les prix peuvent-on appliquer la TVA à 5,5 % sur les produits concernés ?

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CGA LEVESQUE

mercredi 17 juin 2009

Dans votre numéro 3137 du 11 Juin tout est très bien expliqué SAUF : le paragraphe ' Les exploitants ont-ils l'obligation de baisser la TVA' réponse NON etc etc etc...
Notre question : (même les services fiscaux sont ignorants !)
si nos clients décident de ne pas baisser leurs prix peuvent-ils tout de même appliquer la TVA à 5.5% sur les produits concernés.
merci de nous répondre, nous sommes conscients de la somme énorme des questions qui vous sont posées... donc courage !
respectueusement vôtre
sylvie boujeant

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Jean Gabriel DU JAIFLIN

jeudi 18 juin 2009

Bien évidement
Bonjour Sylvie

Si j'ai tout compris, normalement cette liste n’est qu’une suggestion du principe. Mais comme les prix sont libres le restaurateur peut très bien garder le même prix et donc tout simplement augmenter sa marge. Et appliquer une TVA de 5,5 sur toute sa carte hors les boissons alcoolisées.

Jean Gabriel Du Jaiflin - Auteur
http://www.jgdjconseil.fr
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jacob

dimanche 28 juin 2009

Albert je suis d'accord, il faut sauver un morceau de..
la "douce France" que j'ai connue il y 30 ans ( moi je suis un retraité..).
Dans le cas de Paris ( ou j'ai abité une dizaine d'années) il fait sauver le 30% des hotel dont parlent les chiffres de Marck.C'est moin complique et moin 'idealiste' de ce que pense mon ami Guilain, meme si c'est vrais que par rapport a il y à 30-40 années moin de journalistes et de politiques ont envie de faire des batailles.
Dans le cas de Paris s'offre la possibilité d'une bataille claire, bien identifiéé, que aurait de la resonance internationale, car le touristes aiment le vieux Paris.
Donc un programme d'aides, deductions sur investissements etc
pour sauver une partie de l'esprit de la ville et contre la 'banalistion' à outrance de l'hotellerie.
Le comble c'est que les 'verts' qui sont da la majoritè qui gere Paris,ne se manifestent pas...
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CP

dimanche 28 juin 2009

Vous avez vu le post d'Albert..
..et n'êtes pas allez vous jeter du pont; soit :
1) Vous ne savez pas lire
2) Il n'y a pas de pont près de chez vous
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jacob

dimanche 28 juin 2009

J'ai vu le 'pont' d'Albert et je l'ai traversé,mais dites
vous n'aimez pas Paris, vous?
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jacob

dimanche 28 juin 2009

Guilain, il faut une restructuration du parc
hotelier francais qui eteait surdimensionnée, mais ca n'empeche de conduire une 'politique industrielle' dans le secteur pour sauver ce qui est possible et eviter des fenomenes de desertication.
Par contre il faut sauter sur le cas de Paris...
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Albert

dimanche 28 juin 2009

10 chambres avec ou sans un restau'
...pourvu que ça soit de grande qualité (la grande qualité n'ayant rien à voir avec le luxe ostentatoire) ça peut fonctionner! il doit etre irréprochable et pratiquer non pas des prix bas (aahh! si la nouvelle économie pouvait arreter cette imbécile chasse au toujours moins cher), mais un ou des prix qui conviennent. Ceux qui conviennent pour vivre, investir et faire revenir le client. Bien sur il faut une commercialisation d'enfer et le standing d'un tel hotel de 10 chambres, même plein à 90% ne sera jamais accessible aux petits budget...
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ETourisme

lundi 29 juin 2009

En région c'est plus facile que vous le pensez Guilain...
L'investissement est plus realiste qu'à Paris (ou autres sites de notoriété)...
Et la demande est maintenue pour des établissements humains, offrant une belle idée de séjour...
De plus le coté ancien (vieillot si vous préférez..) n'est pas forcement un handicap ?!...
La seule question (recurante ici) est la commercialisation... comment faire connaitre et vendre son produit...
Ne me répondez pas qu'un site hôtelier suffit Guilain !
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Albert

lundi 29 juin 2009

Voilà un problème..
..une fois encore clairement posé: la commercialisation. Le web ne suffit pas, même si ses résultats sont surprenants (désolé de paraitre péquenot, mais que celui qui avait prévu il y 12 ans cette efficacité se lève ).
La commercialisation cela englobe aussi des techniques plus anciennes: contact direct, e-mailing, cadeau, parrainage, mail poste, mail fax, telemarketing, exploitation du fichier client, signalétique, enseigne, presse etc...
Oserais-je suggérer (vu le peu d'écho que recoivent les suggestions ici émises par les uns et les autres alors que des blogs font "doublon" ou sont désertés....)de déveopper celui de la commercialisation "traditionnelle"...
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Albert

lundi 29 juin 2009

Guilain, il est vrai...
..que des prix élevés s'adressent à une clientele privilègiee évidemment moins nombreuse que la clientele peu fortunée. Si nous poussons ton raisonnement jusqu'au bout ce sont des hotels-restaurants du coeur qu'il faudra ouvrir, nul doute que nous n'aurons aucun mal à les remplir.
Les chambres d'hotes "chicos" en France et les fameux Ryad du maroc n'ont pas de problème de remplissage. Pourquoi ne pas transposer ? L'avantage de certaines clienteles amateures de qualité et d'adresses "confidentielles", c'est leur fidélité. Des formules un peu originales sont certainement à construire mais on ne remplacera pas tous les hotels de 10 à 20 chambres au bord de la faillitte par des Hôtel d'Hôtes de charme.
Je reste persuadé qu'en France, il n'est pas nécessaire de rechercher la baisse des prix. Le niveau des prix actuels, comparé à celui des autres pays europeens associé aux promesses du produit France ne le justifie pas. En revanche la modernisation et la révolution culturelle sont urgentissime. Les prix devront s'adapter.
Inutile de poser la question aux clients: quand il faut payer, c'est bien sur tro p cher. Mais on sait que secretement il est d'accord pour payer loyalement une qualité loyale à un prix loyal.
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olivier du relais

lundi 29 juin 2009

Booking Chaine Hoteliere
J’aime cette image de Booking comme une chaîne à part entière,


Même plus qu’une chaîne volontaire. Il m’est arrivée de me poser la question suivante , vais-je continuer à payer ma cotisation Ldf, car sur le plan du retour des réservation Web, Booking représente bien 70% des Resas, mon propre avec sont bouton de réservation 12%, et le LDF pur 6%, le reste.

Par contre ce que je ne comprends pas c’est pourquoi cette ULTRA dépendance vise aussi une chaîne volontaire comme Ldf à Booking, riche d’un catalogue de plus de 3 000 hôtels les Ldf devraient être plus présent sur la toile.
Cette dépendance va même, lors de problème d’un surbooking liée à la mauvaise synchronisation des mises a jour des dispos, « pas touche au résa booking, virons une des nôtres » celle passé par les Ldf.

Même en cherchant « Logis + nom de commune » Booking vient se placer devant mon site et bas de page le site des Ldf.

Alors jusqu’où va aller cette Ultra dépendance ?

Bon après reflation rapide je renvoie ma cotisation 2009 + chèque

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ETourisme

lundi 29 juin 2009

pas de nombre minimal Guilain....
Sauf celui qui motive un partenaire commercial (efficace..il y en a trés peu) du net ...un stock de 5 ou 6 est déja possible...mais sur 8 mois... (on compte en nombre de dossiers annuels)
Mais les chambres ne sont qu'une base nécessaire pour avoir des clients... mais pas suffisant pour une gestion d'un site..
En fait le chiffre d'affaire rentable généré par un client durant un séjour touristique vient aujourd'hui des "à coté"..restau, galerie, soins, excursions, achats..;etc...
On va chercher le client avec ses chambres... et on gagne sa vie en étant un conseiller vacances.;

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