Originaire de
l'ouest parisien, Christophe Bellon a trouvé sur la
colline de Belleville (Paris XXe) ce qu'il cherchait : un hôtel à l'abandon à rénover
entièrement et qui rentrait dans son budget. Avec son père, architecte, et leur
associé, ils ont tout refait dans un style mêlant l'ancien et le moderne, le
mobilier industriel et les matières feutrées, des créations en bois de
récupération de la marque La Malfabrique, du vieux parquet, des têtes de lit en
papier peint d'artistes et des verrières donnant un air d'atelier. "Très
peu de choses sont d'origine, quelques tomettes que nous avons sauvegardées à
la réception et dans la salle de petit déjeuner, la marquise et la porte
d'entrée. Le reste a été créé de toutes pièces", se réjouit le jeune
propriétaire qui a réussi à faire émerger un charmant boutique-hôtel. La
décoration dans l'air du temps et le fait que l'hôtel soit ancré
dans un quartier entouré de galeries d'art et d'ateliers d'artistes a, dès
l'ouverture, en juin 2016, attiré une clientèle à son image, plutôt jeune et
sympathique.
Une vraie identité parisienne
En plus des 30 chambres (dont une suite), à partir de 120 €, une grande salle avec patio sert de lieu de vie et offre aux clients tout le loisir d'apprécier ses différents espaces au fil de la journée (table d'hôte pour le petit déjeuner, tables bistrot pour prendre l'apéritif, coin bibliothèque avec des fauteuils pour lire…). "Nous avons voulu donner une identité vraiment parisienne, et nous attirons une clientèle qui recherche des choses plus atypiques, moins touristiques", témoigne t-il.
Ancien élève de l'école hôtelière de Glion en Suisse, Christophe Bellon a roulé sa bosse au Plaza Athénée, au Grand Hôtel Kempinski à Genève et en Chine. Le nom est d'ailleurs un clin d'oeil au Scarlett Wine & Bar à Pékin, adresse qu'il fréquentait assidûment. Dans son établissement trois étoiles, il met à profit ses années de formation et ses expériences dans les palaces pour soigner le client : serviettes et tapis de bain siglés au nom de l'hôtel, accueil personnalisé, service de conciergerie en ligne via une tablette, climatisation, ligne de produits écolo dans la salle de bain… "Je préfère être un très bon 3 étoiles qu'un petit 4 étoiles et que les gens repartent contents. D'ailleurs, nous avons déjà une clientèle fidèle qui revient ! Nous affichons un taux d'occupation de 80 %", explique t-il fièrement.
Une vraie identité parisienne
En plus des 30 chambres (dont une suite), à partir de 120 €, une grande salle avec patio sert de lieu de vie et offre aux clients tout le loisir d'apprécier ses différents espaces au fil de la journée (table d'hôte pour le petit déjeuner, tables bistrot pour prendre l'apéritif, coin bibliothèque avec des fauteuils pour lire…). "Nous avons voulu donner une identité vraiment parisienne, et nous attirons une clientèle qui recherche des choses plus atypiques, moins touristiques", témoigne t-il.
Ancien élève de l'école hôtelière de Glion en Suisse, Christophe Bellon a roulé sa bosse au Plaza Athénée, au Grand Hôtel Kempinski à Genève et en Chine. Le nom est d'ailleurs un clin d'oeil au Scarlett Wine & Bar à Pékin, adresse qu'il fréquentait assidûment. Dans son établissement trois étoiles, il met à profit ses années de formation et ses expériences dans les palaces pour soigner le client : serviettes et tapis de bain siglés au nom de l'hôtel, accueil personnalisé, service de conciergerie en ligne via une tablette, climatisation, ligne de produits écolo dans la salle de bain… "Je préfère être un très bon 3 étoiles qu'un petit 4 étoiles et que les gens repartent contents. D'ailleurs, nous avons déjà une clientèle fidèle qui revient ! Nous affichons un taux d'occupation de 80 %", explique t-il fièrement.
Publié par Julie GERBET
Commentaires
