Pour Thierry Naidu, directeur de l'hôtel, "la grande restauration est une activité de luxe qui peut tout à fait défier une conjoncture difficile. Nous le prouvons avec ces menus éphémères, en marge de notre carte gastronomique. Après le menu caviar, nous poursuivrons cette série limitée avec d'autres menus, notamment autour du homard, de la truffe noire et de la truffe blanche en hiver. Avec un chiffre d'affaire en croissance de 15 % pour l'hébergement et de 10 % pour la restauration - et + 5 % dès mars-avril - La Chèvre d'or fait mieux que résister et peut envisager sereinement l'année 2012".
Publié par Jacques GANTIÉ