C’est en mars 2020, alors que le premier confinement est imposé sur la grande partie de la planète que deux jeunes Français installés à Londres, Manon Turina, qui travaille alors pour AccorInvest dans la capitale anglaise, et François Marques, prennent conscience des enjeux liés à l’accroissement de la population sur la planète, estimée à 10 milliards d’habitants d’ici à 2050, qui vivront principalement dans les villes. “Un vrai coup de massue”, avoue la jeune femme, pour qui agir pour la planète se limitait jusque-là au tri des déchets.
Comment construire des villes durables, qui luttent contre le réchauffement climatique, respectent l’environnement et favorisent la biodiversité ? Le couple commence rapidement des recherches sur ce sujet, à tel point qu’ils décident tous les deux de quitter leur travail pour voyager en Europe et en Amérique du Nord et au Mexique, à la rencontre des personnes et des entreprises qui ont mis en œuvre, à une échelle plus ou moins grande, des actions en faveur du respect de la planète et de la transition écologique dans les villes. De ce périple de six mois est finalement né un film documentaire, La Belle Ville, dont AccorInvest, propriétaire et exploitant de 800 hôtels dans le monde, est partenaire. Le groupe, engagé dans un programme de responsabilité sociétale et environnementale, a apporté son soutien logistique aux deux jeunes réalisateurs lors de leurs voyages.
“Nous pensons que les hôtels doivent être une partie intégrante des villes et faire partie de la vie locale, que l’économie circulaire est un enjeu majeur, tout comme l’alimentation durable et le compostage, et c’est ce que nous souhaitons développer dans les hôtels du groupe”, a affirmé Franck Bermond, référent RSE pour AccorInvest, lors de la présentation du documentaire au Mercure Boulogne (Hauts-de-Seine), le 7 juillet. Les trois enjeux majeurs présentés par le film - végétalisation des villes, développement de l’agriculture urbaine et valorisation des biodéchets – font partie de la stratégie RSE d’AccorInvest, qui encourage les hôteliers à s’investir davantage en la matière : “Ce film éveille les consciences. Tout ce que l’on entreprend en matière de RSE doit être collectif, tout le monde peut faire quelque chose, il n’y a pas de mauvaise idée”, a insisté Franck Bermond.
Les jeunes réalisateurs travaillent désormais à la distribution de leur film, étape essentielle pour faire connaître leur travail, qui pourrait aboutir dès 2023.
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Publié par Roselyne DOUILLET