Sylvia Pinel ministre de l'Artisanat, du Commerce et du Tourisme a présidé, lundi 26 mars, le premier comité stratégique de la filière restauration, qui réunit, rappelle Bercy dans son communiqué, les représentants des professionnels du secteur et des organisations syndicales des salariés, des représentants des réseaux consulaires, de la formation professionnelle, des producteurs, des métiers de bouche et des arts de la table. Pour la ministre, « la filière de la restauration, avec plus de 200 000 entreprises et 700 000 salariés, est au coeur de la bataille menée par le Gouvernement en faveur de l'emploi et de la promotion de nos savoir-faire. ». Elle reconnaît aussi « les efforts accomplis par la profession en particulier en matière de création d'emplois et d'amélioration des conditions de travail des salariés. (…) Et les marges de progression notamment en termes de formation et de lutte contre le travail illégal. » La réunion qui s'est tenue hier à Bercy a permis de définir, en étroite concertation avec les professionnels du secteur, souligne Bercy, les trois chantiers prioritaires de la nouvelle feuille de route du Gouvernement :
- l'information des consommateurs et la promotion de la qualité dans la restauration ;
- l'amélioration des conditions de travail et la poursuite du dialogue social ;
- le développement de la formation et le renforcement de l'attractivité des métiers de la restauration. Un premier groupe de travail se réunira avant la mi-avril. Il sera consacré à la qualité dans la restauration. Il permettra notamment de travailler au renforcement de la transparence vis-à-vis des consommateurs et à la modernisation du titre de maître-restaurateur.
- l'information des consommateurs et la promotion de la qualité dans la restauration ;
- l'amélioration des conditions de travail et la poursuite du dialogue social ;
- le développement de la formation et le renforcement de l'attractivité des métiers de la restauration. Un premier groupe de travail se réunira avant la mi-avril. Il sera consacré à la qualité dans la restauration. Il permettra notamment de travailler au renforcement de la transparence vis-à-vis des consommateurs et à la modernisation du titre de maître-restaurateur.
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