Bernard Boutboul s'interroge alors quant à la pertinence – ou pas - d'imposer le doggy bag, plutôt que de demander aux clients s'ils en souhaitent un : "Ce serait l'une des solutions pour lutter contre le gaspillage alimentaire." Reste la problématique liée à l'hygiène : "À quel moment, en effet, les consommateurs vont-ils rentrer chez eux et pouvoir conserver correctement le surplus de leur assiette ? On ne le sait pas. On se retrouve alors dans le même scénario que dans la vente à emporter : dès que le produit vendu sort de la boutique, le cuisinier, le boulanger ou encore le pâtissier n'est plus responsable."
Publié par Anne EVEILLARD
vendredi 27 octobre 2017
samedi 28 octobre 2017
jeudi 26 octobre 2017