Le mythe du client satisfait : tous ne peuvent être contents

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E-Tourisme

mercredi 17 septembre 2008

Nous pensons de plus en plus que nous devons arreter cette logique...et même 'insatisfaire' certains clients.
Tous ne peuvent etre contents chez nous.. et de plus ce serait une erreur de vouloir les écouter !
Chacun son style et son concept..nous developpons et commercialisons une prestation de séjour 'Terroir et Région' ...cela signifie producteurs selectionnés, décoration rustique et mise en oeuvre 'brute'..
Cela fonctionne trés bien, mais nous avons quelques cas de clients trés critiques car nous sommes en dehors des critères classiques de la restauration (pas de nappes, pas de sommeliers, pas de ma^tre d'hôtels onctueux, déco bois brute - pas de marbre- terrines et miches de pain à découper soi même, etc...)
Si nous essayons de les satisfaire..nous allons déplaire à la majorité de nos clients qui eux sont conquis par cette prestation.
Le problème actuel est que nous retrouvons sur des blogs ces clients insatisfaits, (ceux qui confondent regard critique et délation)....qui nous traitent d'amateurs, d'arnaqueurs, etc...
D'ou la reflexion du début..nous ne souhaitons absolument pas ces clients et nous trouvons même normal de ne pas les satisfaire..sinon ce serait mauvais signe !
*** Bien évidemment nos descriptifs sont clairs sur la prestation vendue.....

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Comité Modernisation Hôtellerie

mercredi 17 septembre 2008

Oui, E.T., pour un client satisfait avec...
... les mêmes égards et la même prestation, son voisin ne le sera peut-être pas. Et le pire est que les deux, dans ce qu'ils exprimeront, auront sans doute raison. En tout cas, ils auront "leurs" raisons.

Cela rend nos métiers, mais aussi tous les métiers qui vendent des services et des biens, compliqués. C'est aussi ce qui donne de l'intérêt aux choses et développe un côté passionnant à nos jobs, non ? Enfin, je le crois.
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E-Tourisme

jeudi 18 septembre 2008

Exactement CMH.....
C'est ce qui rend le métier passionnant...chacun peut y mettre son style et ses gouts !
Le problème c'est que c'est aussi un mirage....pour un sage qui a le métier suffisant pour se contenter d'ouvrir un hôtel sympa avec une restauration simple et honnete... combien rêvent de luxe, gastro, clinquant dès qu'ils ont la possibilité d'être à leur compte..
Et là çà grille vite ce genre d'erreur...c'est pour çà qu'on essaye ici de faire passer un peu d'expérience objective...et un regard décalé.
Mais la profession adore les poncifs (c'etait mieux avant, y'a plus de personnel,tous des fraudeurs sauf moi, je ne travaille que le frais, chez moi y'a du charme...) et les soi-disant solutions miracles (internet,baisse de la TVA...)
la sagesse ? : définir sa clientèle plutot que de reproduire les "lieux communs" de l'hôtellerie...développer ses points forts plutot que de colmater ses points faibles...savoir déléguer (et rémunérer) sa commercialisation pour se concentrer sur son exploitation..
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Comité Modernisation Hôtellerie

jeudi 18 septembre 2008

E.T., que peut-on rajouter à cela ?
C'est parfait.
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E-Tourisme

jeudi 18 septembre 2008

Sur France Inter cet aprés midi..le client encore
Sujet de l'émission ...Les voyages ratés.
Thème : ce sont les clients qui ratent leur séjour...pas les hôteliers !
La « tuile », le grain de sable, le retard, le robinet qui goutte font partie intégrante du voyage.
Mais pourquoi les clients ont-ils si souvent le sentiment d’avoir raté celui-ci ?
Que signifient les plaintes que reçoivent les éditeurs de guides, les administrations, les hôtels et les voyagistes ?
Peut-on faire la « victimologie » du voyageur ?
A écouter sur le site France Inter...."La tête au carré"
Le livre évoqué :
Jean-Didier Urbain
Le voyage était presque parfait - Essai sur les voyages ratés
éditeur : Payot
parution : Septembre 2008

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filomène

mercredi 24 septembre 2008

Non, le client n'est pas roi
La consommation fait croire au client qu'il peut tout contester, tout critiquer, mais il ne vit encore qu'à travers les clichés publicitaires d'une restauration à la papa.
Si les critiques gastronomiques cessaient leurs état d'âme pusillanimes, si les concurrents pouvaient cesser de prendre Internet pour un champ de bataille par la désinformation, on pourrait travailler tranquillement ; hélas, il faut encore se défendre contre les coups bas de ceux qui nous en veulent de ne pas nous plier en quatre pour leur plaire. Un conseil contre la diffamation sur de pseudo site de satisfaction : ne vous laissez pas faire !

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