j'ai eu un cas
un de mes salariés buvait en cachette, dans un local ou l'on stockait le vin servant aux préparations culinaires, et agencé comme l'était ce local, il était impossible de le prendre la main dans le sac...
de plus, il avait prétendu à son embauche, qu'une prise médicamenteuse donnait l'effet qu'il avait bu...
le seul moyen, la seule preuve est la vidéo, mais c'est interdit de mettre une caméra de surveillance sans en prévenir le personnel...mais ca vous permet d'etre sur que ce soit ce salarié qui boit.
un avertissement verbal, ou il a nié, un avertissement ecrit, il a nié, un second avertissement, et il a préféré quitter l'entreprise...nous avons eu de la chance.
j'ai concervé quand meme les dernieres bouteilles qu'il avait bu...avec ses empreintes et son adn sur le goulot (le regarde peut etre un peu trop les experts...)
je pense qu'un peu de pression de votre part, et il partira

LES LOIS SONT FAITES POUR ETRE CHANGEES
Nous ne sommes pas des assistantes sociales et nous ne devons pas servir de garde à la prévention à l'alcolisme. Et si nous avons 8 prsonnes sur dix qui boivent devons nous aussi continuer à les assister. Et si leurs comportement mais en péril notre établissement c'est le code du travail qui va nous indemniser? Trop de social tue le social. Vous ne voudriez pas que nous allions les border dans leur lit le soir!!! Nous avions un cuisinier qui buvait surtout le vendredi et samedi dans le nuit et qu'il fallait aller réveiller chez lui pour qu'il veuille bien venir assurer son service du midi!!! Cela ne vous choque pas ? Moi si un alcoolique sait qu'il est alcolique et qu'il ne veux pas se soigner c'est un acte grave de sa part.

discrimination
pour mon cas, je lui ai parlé, demandé si il avait un souci, hors il a nié, a chaque fois, ensuite, boire 4-5 litres de vins par semaine, sur 2 ans cela nous a couté pas mal d'argent, cela s'appelle du coulage, et est un motif de licenciement. cela avait aussi une incidence sur son travail, et sur le travail de toute l'equipe. de plus, dans le reglement interieur, il est bien spécifié que la venue au travail sous l'emprise de l'alcool, ou bien la consommation d'alcool sur le lieu de travail est interdit sous peine de licenciement.
si il est malade, qu'il se soigne, mais d'abord il doit accepter le fait d'etre alcoolique, hors, il le nie, aussi a sa femme, qui est encore persuadée que son état "d'ébriété" est due à un effet secondaire d'un medicament.
si au moins le patron avait le droit de faire "souffler" ou de demander aux autorités... afin que le salarié puisse justifier qu'il n'est pas saoul, mais il est protégé, peut etre un peu trop...
la halde? oh oui je connais, d'ailleurs ce salarié n'est pas francais, et cela ne nous a pas empeché de l'embaucher.

COMPARONS CE QUI EST COMPARABLE
Vouloir comparer l'ivresse avec ces concéquences avec un diabétique ou un cardiaque c'est ce moquer du monde !!!!
Et pourquoi pas l'hypertention ou la grippe!!!
Elle peut être très dangereuse pour elle-même et pour les autres ce qui n'est pas le cas pour d'autres maladies. Sur la route on réprimande l'alcool en voiture en interdisant de conduire les personnes en état d'ivresse mais on n'interdit pas de conduire les personnes diabétique ou cardiaque!!!!!!

alors légalement, on a le droit a quoi, quand un salarié
arrive bourré au travail, ou bien qu'il boive, et qu'il nie tout,
que proposez vous Carole Gayet?
Sans oublier, que nous dirigeons un commerce....