Les Fils à maman, c'est l'histoire de quatre bons copains : Vladimir Bauer, Alexandre Poulenc, Laurent Guarrera et Julien Hemmerdinger. Ces jeunes trentenaires partagent en commun le souvenir des bons petits plats que leur préparaient leur mère quand ils étaient enfants. C'est ainsi qu'est né, il y a trois ans, le concept du restaurant Les Fils à maman. Après avoir ouvert deux établissements à Paris puis Bruxelles, ils s'installent aujourd'hui à Lyon, avec un restaurant d'une soixantaine de couverts, situé dans une ruelle du quartier de l'opéra.
Cuisine ludique
"L'ambiance de ce restaurant se veut avant tout conviviale et ludique. Car on joue à fond la carte de la nostalgie avec une carte volontairement régressive. D'où la salade aux Babybel panés, le cordon bleu maison et en dessert la crème brulée aux Carambar ou le tiramisu au Kinder. Mais on pousse le concept également dans la décoration avec, au mur, des images de bandes dessinées des années 1970-80, ou encore des figurines de héros de cette époque comme Goldorak ou Musclor", explique Vladimir Bauer, le gérant de l'établissement lyonnais. Si le concept séduit les trentenaires nostalgiques, le restaurant attire également une clientèle familiale et les habitants du quartier, conquis par cette offre de restauration décalée.
Cuisine ludique
"L'ambiance de ce restaurant se veut avant tout conviviale et ludique. Car on joue à fond la carte de la nostalgie avec une carte volontairement régressive. D'où la salade aux Babybel panés, le cordon bleu maison et en dessert la crème brulée aux Carambar ou le tiramisu au Kinder. Mais on pousse le concept également dans la décoration avec, au mur, des images de bandes dessinées des années 1970-80, ou encore des figurines de héros de cette époque comme Goldorak ou Musclor", explique Vladimir Bauer, le gérant de l'établissement lyonnais. Si le concept séduit les trentenaires nostalgiques, le restaurant attire également une clientèle familiale et les habitants du quartier, conquis par cette offre de restauration décalée.
Publié par Stéphanie Pioud
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